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Revêtement de l'équipement personnel de protection avant une entrée en "zone à haut risque" dans le centre de traitement Ebola de Conakry, mission MSF, Guinée, 2014.
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08 juillet 2019

Sur les traces d’un Centralien devenu ingénieur en santé publique pour les ONG

Ingénieur centralien de Lyon (ECL 2010), Laurent Lehot a décidé dès sa sortie de l’Ecole de mener une carrière dans l'humanitaire, effectuant son TFE à Och, au Kirghizistan. Il n’a depuis jamais travaillé en France. Spécialisé en ingénierie de la santé publique (eau, hygiène et assainissement), il a mené à ce jour 9 missions dans 8 pays et 3 continents avec des contextes aussi différents que la gestion de camps de réfugiés, d’hôpitaux, d’épidémies, ou de conflits. Rencontre.


Inspection par caméra du puit fournissant l'eau à l'hôpital régional de Bangassou, mission MSF, RCA, 2015.

 

Tu es investi dans des missions humanitaires depuis ta sortie de l'école. Pourquoi ce choix et quel en a été le déclic ?
Mon père est médecin urgentiste et ma mère pharmacienne, tous les deux dans l’armée. Sans doute m’ont-ils transmis une certaine manière de voir l’engagement. Mais le vrai déclic, je l’ai eu lors de ma scolarité à Centrale Lyon au travers de l’association Solidari’Terre....

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Auteur

Ingénieur centralien de Lyon, j'ai décidé de mener une carrière dans le secteur humanitaire dès ma sortie de l'école, j'ai d'ailleurs effectué mon TFE à Och, au Kirghizistan, et je n'ai jamais travaillé en France. Je me suis spécialisé en ingénierie de la santé publique (eau, hygiène et assainissement). au cours de mes 9 missions, j'ai travaillé dans un large éventail de contextes différents (Camps de réfugiés, hopitaux, épidémies, conflits...) dans un total de 8 pays sur 3 continents. Voir l’autre publication de l’auteur(trice)

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